Essai longue durée : BMW Z3 Coupé 2.8 Pack M ; test, fiabilité, revente, avis.

Nouvelle venue dans le garage et cette fois, une que l’on pourrait qualifier de Youngtimer : la BMW Z3 Coupé 2.8l ! Qu’est-ce que cette première propulsion va m’apprendre, vous allez le savoir dans la suite de l’article.

Alors, je vais traiter cet essai avec les grandes rubriques relatives à un achat :

 

1 – La recherche

 

2 – Les sensations

 

3 – L’entretien et la fiabilité

 

4 – Revente

 

 

1 – La recherche

 

Comme beaucoup depuis 2/3 ans, je me suis longtemps posé la question de l’achat d’un youngtimer, tellement ceux-ci ont la côte en ce moment. Parmi la multitude de choix qu’il existe, j’ai dû trouver des critères pour mon cahier des charges. Ce sera donc une 2 places coupé ou cabriolet de plus de 200ch si possible. J’ai assez vite arrêté mon choix sur 2 modèles qui me faisaient de l’œil depuis que j’étais gosse, la Porsche Boxster S et le BMW Z3 Coupé 2.8/3.0. La suite de l’histoire, vous la connaissez déjà avec le titre de cet article : le Z3 a remporté le match.

Après avoir épluché les annonces pendant 3 mois, j’avais déjà repéré ce modèle en le voyant malheureusement disparaître du célèbre site orange. Mais c’est lors de sa re-parution que j’ai décidé d’aller le voir et finalement signé.

 

Nous voici avec une version 2.8l de 193ch double Vanos de 2000 dans une très rare couleur bleu topaze (et bim encore plus collector). Les amateurs auront remarqué les modifications apportées au modèle d’origine avec de belles jantes BBS RX en 18 pouces, ainsi que divers accessoires de la version M (et option Pack M intérieur). Il dispose, par ailleurs, d’une ligne Eisenmann Race au son envoûtant, mais nous y reviendrons plus tard dans l’article.

A l’intérieur, la configuration est bien plus classique, avec un intérieur entièrement noir (option cuir étendu) muni de superbes sièges baquets électriques et chauffants (pour une voiture de 20 ans, une bonne surprise). La finition n’est pas exemplaire, et nous avons à faire à beaucoup de plastiques durs qui occasionnent quelques bruits aux passages d’aspérités. On ressent peut-être ici, son assemblage aux USA, une première pour BMW à l’époque. Notez cependant que ces plastiques intérieurs vieillissent bien mieux que ceux de mon ex-Clio RS pourtant âgée de seulement 13 ans.

A l’arrière, on retrouve un coffre plutôt acceptable pour un coupé 2 places avec un, très original, filet pour séparer l’avant de l’arrière. Si vous souhaitez emmener Médor en promenade, c’est pratique. C’est, en tout cas, un clin d’œil plutôt rigolo à son allure de break.
Pour l’anecdote, cette configuration intérieure/extérieure n’existerait qu’à 44 exemplaires (en dehors des USA).

 

IMG_9291_l
BMW Z3 coupé 2.8, Bleu Topaze, 3/4 arrière.

A noter que pour la recherche, les prix sont très variés selon le kilométrage et la configuration. Beaucoup de version gris métal qui ont un peu moins la côte puisque très répandu. Enfin comme d’habitude, la demande d’un suivi de factures suffit en général à faire le tri dans les annonces. Pour mon exemplaire, je l’ai donc acheté 17 000eu (en 2017) pour 141 000km.

Voici une petite vidéo de présentation que j’ai réalisé :

 

2 – Les sensations

 

Comme dit plus haut, par cet achat, je m’essayais pour la première fois à la propulsion. Je n’ai pas donc pas beaucoup de point de comparaison en matière de conduite, même si j’ai pu expérimenter plusieurs fois en passager (en M3, 1M, etc…).

 

JpogZ3_P1010296
BMW Z3 coupé 2.8, Bleu Topaze, dynamique.

La première chose amusante lorsqu’on s’installe au poste de conduite, c’est la taille du volant, particulièrement grand par rapport à nos standards actuels. Pour le reste, nous sommes dans les fondamentaux d’un coupé, on se laisse tomber dedans pour ensuite se retrouver dans une position très allongée, le dos contre le passage de roue arrière.
On trouve sous sa main droite, un petit levier de vitesse au guidage ferme et précis, pour permettre de parfaitement passer les 5 rapports de la boîte, bien étagé. Il est maintenant temps de démarrer ce morceau d’histoire.

Contact.

Ah… Rien du tout. Oui, dans l’euphorie de l’achat, j’ai eu la mauvaise idée d’oublier d’éteindre le plafonnier, qui s’est fait un malin plaisir de vider la batterie.

Contact (2h plus tard)

Whaou, quel son ! Rien qu’au démarrage, la ligne donne déjà dans le rauque. La pédale d’accélérateur à cable à l’ancienne donne vie au moteur qui prend des tours sans aucun lag.

JpogZ3_P1010276
BMW Z3 coupé 2.8, Bleu Topaze, intérieur cuir étendu

 

Quel plaisir ces moteurs atmosphériques. Le moteur coupleux (280 nm) permet de “décoller”, à l’embrayage, les 1400 kg de la bête. A ce propos, le coupé possède une rigidité 2,5 fois supérieure au roadster.
Les premiers tours de roue sont tout de même un peu stressant, car il faut appréhender ce capot sans fin. Les faibles porte-à-faux de l’ensemble nous aide cependant dans cette tâche, ainsi qu’un très bon rayon de braquage. Les rétroviseurs perturbent un peu par leurs positions très reculées sur la porte, mais voir le galbe de l’aile arrière dedans constitue un véritable plaisir.
Après quelques milliers de kilomètres à son volant, les qualités et les défauts du modèle apparaissent.

JpogZ3_IMG_9324
BMW Z3 coupé 2.8, Bleu Topaze, moteur

La voiture est très agile et la direction communicative renseigne bien sur ce que font les roues avant. Cette agilité est encore accentuée par le faible empattement du Z3 (244,5 cm). A noter que, malgré le rabaissement, le coupé reste très confortable ce qui a cependant son effet pervers.

J’ai trouvé qu’en conduite soutenue, le comportement n’était pas des plus rassurants avec des mouvements de caisse assez présent. Ce Z3 est équipé d’amortisseurs d’origine avec des ressorts courts H&R. Après discussion avec quelques propriétaires, il semblerait judicieux d’acheter des amortisseurs Bilstein B8 (qui rabaissent tout en gardant un comportement sécurisant). Enfin, les freins ne sont pas non plus exempt de défaut, avec une tenue en température moyenne, qui peinent à ralentir le poids de l’ensemble après une mise en vitesse rapide.

Mais malgré ces défauts, c’est une voiture qui reste terriblement ludique ! A chaque fois que je me suis mis à son volant, j’avais cette impression de sportivité. Et ce moteur ! Comme je comprends les béhémistesdésormais. Le son, l’équilibre, le couple, c’est un moteur atmosphérique véritablement attachant. Alors certes, il n’aime pas trop aller chercher la zone rouge et s’essoufle vraiment passé 5500 tours/min, mais avec le couple, il vous a déjà bien mis en vitesse. Le pédalier propice aux talons-pointe rajoute encore à cette ambiance.
Ce 2.8l se paye même le luxe d’être économe en carburant en conduite coulée, et il m’est arrivé plusieurs fois d’atteindre des moyennes de 7.5l/100km.

IMG_9344_l
BMW Z3 coupé 2.8, Bleu Topaze, soirée

Le plaisir fut, par ailleurs, augmenté par la présence de la ligne en inox de la marque allemande Eisenmann. Cette ligne de gros diamètre vous gratifie d’un son rauque rappelant le son des Porsche et de jolis retours au lever de pied. Sa bonne conception lui permet dans un second temps de ne pas être trop présente sur autoroute par exemple. Cet échappement est vraiment un bon compromis.

img_9310_l
BMW Z3 coupé 2.8, Bleu Topaze, arrière

 

 

3 – L’entretien et la fiabilité

 

Après un an en sa possession et 6000km environ, j’ai désormais un peu de recul pour faire un bilan de mon essai longue durée. Parlons fiabilité. En dehors de la batterie, j’ai eu un souci qui semble être un classique sur ce moteur : le capteur d’arbre à cames qui rend l’âme.
Panne particulièrement handicapante (démarrage très difficile, puissance divisée par deux), mais qui se solutionne facilement par un changement du capteur, plutôt accessible et demandant peu de démontage. Comptez 130eu pour le capteur chez BMW tout de même. Je vous conseille d’ailleurs de le commander directement chez BMW plutôt que sur Oscaro, qui ont la bonne idée de vous envoyer des capteurs défectueux, que vous ne pouvez, bien entendu, pas vous faire rembourser (plusieurs témoignages similaires lus sur différents forums…).

P1020461m
BMW Z3 coupé 2.8, Bleu Topaze, profil

En dehors de ces capteurs, un autre défaut récurrent concerne les glissières de sièges qui finissent par prendre du jeu inexorablement avec l’âge, faute à un mauvais vieillissement du plastique d’une bague. Il existe cependant des boutiques qui vendent ces bagues en téflon qui corrigent définitivement ce problème. Des tutoriels sont disponibles en ligne si vous voulez vous y attaquer seul.

Et enfin, sur les exemplaires à l’option cuir étendu, il arrive que les casquettes se rétractent (comme sur le mien) et sèche à force d’être exposé au soleil. Rien de bien alarmant mais dommage. Il est tout à fait possible de les refaire faire chez un sellier pour environ 300eu.

Comme souvent, si l’entretien a été suivi, le Z3 Coupé est une voiture fiable qui vous emmènera loin sans gros frais à prévoir. Il n’y a qu’à voir le nombre de Z3 en vente avec des kilométrages supérieurs à 200 000 km.

 

4 – Revente

 

J’ai gardé cette voiture environ un an, ce qui est court par rapport à mon rythme habituel mais cela pour une raison. Il m’est impossible d’avoir 2 voitures et le Z3 était donc mon véhicule principal. Et un véhicule principal rabaissé, 2 places, c’est malheureusement un peu handicapant au quotidien pour ma vie, et je m’en suis rendu compte progressivement.

C’est une voiture atypique et attachante. Alors certes, ce n’est pas le plus pratique des coupés, peut-être pas le plus beau (même si c’est subjectif), mais soyez sûr qu’au volant de ce coupé, vous roulerez différent.

Après avoir été boudé à sa sortie et moqué avec de nombreux surnoms, “la chaussure de clown”“la faiseuse de veuves” pour la version M plutôt surmotorisée, elle connaît un vrai retour en grâce auprès des amateurs de collector.

img_9311_l
BMW Z3 coupé 2.8, Bleu Topaze, 3/4 avant

Durant cette année, j’ai eu de nombreux signes de la part d’autres conducteurs heureux de croiser ce modèle rare. C’est une voiture avec une forte côte de sympathie, qui ne laisse pas indifférent. Comme à sa sortie, on aime ou on déteste.

Sa côte a connu une nette progression ces dernières années passant d’environ 10 000eu, il y a 4 ans, à environ 16/18 000eu actuellement pour un modèle comme celui-ci. Pour ma part, la revente fut très rapide (3 semaines) et j’ai été surpris par le nombre de mails reçus de la part d’amateur du modèle (la configuration peu courante y participant sans doute). Ce modèle constitue à coup sûr un bon placement plaisir avec une côte qui a peu de chance de diminuer dans les années à venir.

 

Si vous avez des questions complémentaires, n’hésitez pas à les poser en commentaires 😉

P1020470m

Après cette belle expérience, je suis reparti sur une marque je connais bien, mais avec la grande soeur de la Clio : une Mégane 3 RS cup. Et ça, ça sera l’occasion d’un prochain article quand elle partira (mais pas tout de suite, tellement cette voiture me convient ! )

A suivre sur Instagram !

Essai longue durée : Renault Sport Clio RS 182 (RS3, RS 2004) ; test, fiabilité, revente, avis.

Retour de l’essai longue durée avec la remplaçante de la Mini dans mon garage : la Renault Clio RS 182 châssis sport ! Qu’est-ce qu’un âne du volant comme moi a donc pu  penser de la référence des petites sportives selon plusieurs magazines ?

Alors, je vais traiter cet essai avec les grandes rubriques relatives à un achat :

 

1 – La recherche

 

2 – Les sensations

 

3 – L’entretien et la fiabilité

 

4 – Revente

 

 

1 – La recherche

 

Il m’a, tout d’abord, fallu choisir une version des célèbres Clio de chez Renault Sport. Après étude du marché et lecture de nombreux articles, mon choix s’est porté sur la RS3 ou 182 ou RS 2004 (oui, beaucoup d’appelations dans le milieu). Cela pour plusieurs raisons :
–  le look que j’adore avec les jantes synthèse anthracite,
– le côté fin de série/barroud d’honneur de la Clio 2, et enfin,
– la tenue de côte. J’ai aussi fait le choix de prendre la version châssis sport, clairement plébiscité sur cette série.
Cette version de la Clio n’a été vendu que de 2004 à 2006 avant l’arrivée de la Clio 3 RS (C3RS dans les annonces et non RS3). Il existe 2 versions à différencier (si on excepte la licorne « Trophy« , série limitée en Angleterre et en Suisse), la version standard, reconnaissable à ses jantes couleur alu, et la « châssis sport« , reconnaissable à ses jantes anthracites. Mais tout ça c’est de la théorie, il va falloir être vigilant et bien vérifier les numéros de châssis pour savoir si vous avez une vraie CS face à vous. En plus des jantes, le châssis sport est reconnaissable aux pastilles de couleur sur les amortisseurs (Avant : Bleu + Jaune pour un CS et Bleu + Vert pour un normal).
Ces connaissances acquises, j’ai pu commencer à éplucher les annonces sur toute la France. Il y en a beaucoup, et il faut être bien vigilant aux fausses CS. Autre problème, en trouver une à peu près d’origine (amortisseurs Renault, boîte non-modifiée, intérieur complet, etc…) car le monde de la clio est très propice aux préparations, tellement il existe de pièces pour l’améliorer.
Il m’a donc fallu en voir 3 avant de trouver ma belle. Une première grise, mais trop modifiée à mon goût et surtout un proprio qui vous emmène à 180 km/h au bout de 3min d’essai (pas une bonne idée de montrer « comme ça marche » pour un premier contact). La deuxième, une très rare vert Orion (moi j’aimais bien ce vert nacré doré), mais encore une fois, c’était une fausse CS, avec la poulie de déphasage HS… Dommage pour la rareté. Cela faisait donc environ 2 mois que je cherchais en vain ma future avec un budget de 8000eu.
Et là par miracle, je vois une belle bleue à Tours, châssis sport, échappement Orbisoud, et surtout une paire de Recaro Trendline façon Mégane RS R25 ! Ni une ni deux, j’appelle, propriétaire agréable, passionné et sérieux. Hop appelle à un de mes meilleurs amis sur place pour qu’il aille l’essayer. Retour de l’essai hyper positif, bonne impression laissée par le propriétaire. Vendu, on établit le chèque de banque et on traverse la France pour aller la chercher ! Elle était encore plus belle en vrai malgré la pluie, le propriétaire l’ayant fraîchement lustrée pour moi, elle parraissait neuve et ces Recaro, whaou !
Je repars donc avec une Clio RS 182 châssis sport, de 2005, 111 000km, entretien suivi avec factures pour 8500eu.
Conclusion, pour avoir une belle Clio RS 182, il m’a fallu augmenter mon budget car la côte reste élévée pour un bel exemplaire en très bon état.

IMG_0402m
La voici à l’achat en 2014, comme neuve.

2 – Les sensations

 

Pour les sensations, je prendrais en point de comparaison, ma voiture précédente, une des concurrentes de la Clio : la Mini Cooper S R56 (voir l’essai longue durée).

 

 

Point de suspense, je peux dors et déjà vous dire que ce que j’ai adoré sur cette voiture, c’est sa légèreté (et tous ses bénéfices), ainsi que ses Recaro.

 

En sortant de la Mini, le plus gros choc est venu du moteur. Et oui, fini le turbo, pour avoir des reprises décentes, il va falloir aller chercher des tours. On est sur une voiture de 180ch pour 1050kg (théorique) donc je vous rassure les performances sont au rendez-vous. Disons juste qu’avant, je pouvais doubler en 6ème, et que maintenant, il faut retomber la 4ème pour doubler raisonnablement. Je présente ça comme un inconvénient, mais en dehors du quotidien, l’allonge et la rage du moteur atmosphérique est juste géniale. Lors de mon roadtrip sur la Route des Grandes Alpes, j’ai pu largement en profiter entre chaque épingle et à ce moment la voiture se révèle. Le déphasage à 5000tr/min rend véritablement le moteur extrêmement vif, allant chercher les 7000tr/min avec une vigueur rare ! A croire que le moteur rapproche les virages.

 

IMG_8555

 

Le modèle que j’ai possédé était équipé d’une ligne inox Orbisoud (fournisseur des Clio Cup). Je tiens à signaler au passage que la qualité de la ligne est là, et que les soudures sont très propres. Cette ligne produit un beau son rauque (voir vidéo), mais, comme souvent avec la ligne inox, un bourdonnement aux alentours de 3000tr/min (dommage c’est le régime du moteur à 90km/h). Donc en utilisation plaisir sport, c’est une super installation, mais je dois avouer que réalisant régulièrement de grands trajets de 300km, il m’est régulièrement arrivé de pester contre elle et de vouloir racheter une ligne d’origine. A voir selon votre utilisation donc.

 

L’autre point que j’ai un peu moins aimé, et je ne vais rien inventer, c’est sa position de conduite. Malgré les Recaro 1cm plus bas, à chaque fois que je montais dans une autre sportive, le retour dans la Clio était cruel et ce volant paraissait toujours aussi « horizontal » si je puis me permettre ce terme exagéré. Dommage. L’habitacle n’est de toute façon pas le point fort de cette voiture, que ce soit les plastiques qui collent (au bout de 10 ans sérieusement…), ou la sono Cabasse, qui ne devrait juste pas porter ce prestigieux nom tellement le son est de mauvaise qualité…

 

IMG_0339m

 

Pour ce qui est du châssis Sport (je n’ai pas essayé la version standard) mais il est clair que c’est LE point fort de cette voiture ! Vous allez dire que je répète les journalistes, mais croyez-moi, après la Mini, le niveau d’adhérence de la Clio est juste dingue ! On a l’impression que le sous-virage ne va pas apparaître. On lève le pied en appui, l’arrière se décale pour resserrer la trajectoire sans devenir vicieux, jouissif ! Pour trouver les limites, il m’a fallu aller sur circuit. Je me rappelle notamment de ma journée au circuit de Magny-Cours Club, lorsque dans la parabolique, j’ai pu pleinement toucher les limites du châssis et jouer entre l’équilibre train avant/train arrière. La photo extérieure révélera que j’étais sur 3 roues lors de ce virage (victoire personnelle !). On se sent vraiment en sécurité avec une telle tenue de route. Elle possède le parfait équilibre stabilité/vivacité.

_4D_8589

 

 

Ce que j’en retiens, c’est donc que c’est une voiture hyper vive et nerveuse (et c’est vraiment le terme parfait avec son association châssis/moteur). Hyper légère, économe (sur nationale, je tournais à peine à 7l/100km), performante, bien équipée (xénon, clim, esp déconnectable, régulateur de vitesse…) la petite sportive à tout faire !

 

 

3 – L’entretien et la fiabilité

 

 

Je ne vais pas vous faire languir, durant ces 3 ans, je n’ai eu aucune panne avec cette voiture.

 

J’ai donc réalisé un entretien somme toute classique, vidange entre 10 000 et 15 000km (avec l’huile recommandé par Renault), distribution et enfin amortisseurs.

 

Pour ce qui est des amortisseurs, je ne ressentais pas vraiment de problème dans le comportement, mais après avoir lu quelques forums et, surtout, l’avoir fait essayé à un connaisseur sur piste, il s’est avéré qu’ils avaient bien vécu et que la voiture était normalement bien plus vive. J’ai donc décidé de suivre les conseils des autres et de racheter 4 amortisseurs d’origine pour goûter au setup de base.

 

Le problème, c’est qu’ils sont vendus à prix d’or chez Renault ! J’ai donc cherché un moyen d’obtenir un meilleur tarif. Et pour cela, j’ai décidé de commander Outremanche sur le site Allcarpartsfast. Sur ce site, on peut trouver toutes sortes de pièces Renault à des prix bien plus compétitifs. C’est simple, les 4 amortisseurs (sans ressorts) m’ont coûté 230 euros livraison 48h comprise (en France vous pouvez compter le double chez Renault si vous ne connaissez personne).

 

Pour le reste, mon utilisation ne m’a pas obligé à acheter des pièces performances, et j’ai donc renouvelé les plaquettes, par des plaquettes standard (au tarif presque ridicule d’une vingtaine d’euros) et je n’ai pas eu de mauvaises surprises même sur circuit (merci la légèreté).

 

Le seul souci que j’ai rencontré au fil des ans, c’est la dégradation des plastiques, que ce soit au niveau des phares qui se sont ternis, ou sur certains plastiques intérieurs devenus collant.

 

Que dire d’autres à part que cette voiture est très fiable. Je pense qu’elle l’a été car je l’ai entretenu correctement et les propriétaires précédents aussi. Ca paye toujours de respecter la mécanique.

4 – Revente

 

 

En conclusion, je parlerais du chapitre final entre moi et la Clio : la revente. Après 3 ans et 30 000km ensemble, l’envie de changement se faisait sentir, même si dans le fond de moi-même j’aurais aimé pouvoir la garder dans un garage pour la collection. En soit, c’eut été faire honte à cette voiture que de la laisser sans rouler. C’est ainsi que je me suis décidé à revendre ma seconde petite sportive.

 

Comme évoqué précédemment, il existe de nombreux modèles en vente sur le marché. J’espérais donc sortir du lot grâce à la configuration de la mienne ainsi que son état, particulièrement préservé. Après avoir fait un test de vente à 10 000eu et avoir reçu une offre dans l’heure (que bêtement j’ai refusé puisque j’avais encore besoin de la voiture pour quelques semaines), je me suis décidé à la mettre en vente fin juin au premier tarif de 9500eu puisque le marché était haussier sur ces Clio RS 182 (ce qui me confortait dans mon choix initial pour cette version).

 

Faute d’acheteurs véritablement sérieux et finissant par être pris par le temps, je me suis décidé à baisser mon prix à 8700eu (la Clio avait alors 141 000km). C’est alors qu’elle a su séduire un passionné Renault Sport (il possède une Mégane R26-R, ainsi qu’une Trophy-R) avec qui j’ai eu un très bon contact et qui a compris que je lui confiais ma petite perle. Il est parti avec, non sans un certain regret de mon côté.

 

La mise en vente aura duré 2 mois et se sera conclu 200 eu plus cher qu’à mon achat ce qui est très appréciable pour pouvoir acheter la prochaine ! Cette voiture me laisse de très bon souvenir et l’envie, sans aucun doute, de regoutter à une autre Renault Sport.

 

Mais pour le moment, je fais un détour par une marque bavaroise, qui sera l’objet d’un autre article dans quelques mois.

 

Merci d’avoir lu cette article et n’hésitez pas à poster un commentaire si vous avez d’autres questions. J’y répondrais avec plaisir !

 

Porsche 911 Carrera S (997.2)

Aujourd’hui, c’est un grand classique que je vous présente avec cette magnifique exemplaire de Porsche 997 Carrera S phase 2, en une rare configuration à boîte manuelle !

Que dire si ce n’est, saluer la polyvalence de cette voiture, hyper sportive lorsqu’on le souhaite, et totalement docile en ville au quotidien. Enfin son propriétaire saurait mieux vous en parler que moi.

Je vous ai quand même ramener des images de la balade, et en prime une vidéo (lisible uniquement sur ordinateur).

 

Les images fixes maintenant (cliquable pour la HD) :

 

Photoshoot Ferrari 458

Il y a des jours comme ça où on est content de se lever. Et ce samedi était un de ces jours.

 

J’ai eu la chance d’aller me promener en Ferrari 458 Rrrrosso Corrrsa. C’est un de mes rêves qui se réalise à nouveau. Avoir un si beau bolide dans son objectif n’est pas chose courante (mais je serais ravi que cela le devienne, avis aux amateurs).

Voici donc un retour photographique de ce superbe après-midi de Juillet. Merci encore au propriétaire pour sa confiance et sa bonne humeur ;).

 

Si vous êtes intéressé par ce genre de séance photo, n’hésitez pas à me contacter sur

jpogphotographie@gmail.com .

Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2735Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2756Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2747Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2754Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2759Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2771Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2761Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2775_bFerrari458_Cpght_JPOG_IMG_2778Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2786Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2784Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2789Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2779Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2808Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2792Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2830Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2790Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2811Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2818Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2813Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2821Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2822Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2823Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2825Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2866Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2846Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2834Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2843Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2845Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2850Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2803Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2797Ferrari458_Cpght_JPOG_IMG_2853

Essai longue durée : Mini Cooper S 175 (r56) ; test, fiabilité, revente, avis.

Premier essai longue durée avec la première sportive que j’ai pu m’offrir après quelques années d’économie (oui, elles sont tout de même chères ces « bombinettes »)

la MINI Cooper S !

Alors, je vais traiter cet essai par les grandes rubriques relatives à un achat :

1 – La recherche

2 – Les sensations

3 – L’entretien et la fiabilité

4 – Conclusion

1 – La recherche

Le monde de la Mini Cooper S peut paraître complexe pour le non-initié. Commençons par distinguer les 3 générations ; La première (R53) s’est vendue jusqu’en 2006, la seconde (R56) a, quant à elle, existé jusqu’en 2013 et la dernière (F56) est encore en vente.

La R56, qui nous intéresse dans cet article, marque l’arrivée du moteur Turbo (THP) réalisé en collaboration avec PSA. Après essai de la première génération R53 à compresseur, j’ai trouvé celle-ci un peu moins confortable et « polyvalente » que sa petite soeur, toutes proportions gardées. Le meilleur confort de suspension, la finition et le comportement du THP ont fini de me convaincre.

Pour la recherche, j’ai d’abord observé le marché durant 2 mois pour me faire une vraie idée du tarif pour un bon exemplaire. J’ai, assez rapidement, noté que certaines options comme le cuir (semi-cuir), ou le toit ouvrant par exemple facilitaient la vente. Avec un budget de 15 000 euros en poche (en juillet 2013), j’ai fini par trouver une configuration assez commune en Dark Grey avec l’intérieur en semi-cuir rouge (moins commun). Elle affichait 38 000 km, un entretien suivi, pas de chocs ou de jantes frottées.

Ce qu’il faut retenir, c’est de toujours vérifier l’entretien (classique), être assez rapide car les belles partent vite et bien se documenter sur la voiture.

IMG_8933_m2_logo
La voici après son achat

2 – Les sensations

Si je dois retenir 2 choses de cette voiture après 3 ans, c’est la direction, délicieusement directe, et le bruit de l’échappement d’origine (je le pleure encore).

IMG_6512_Copyright_JpogGlobalement pour une sportive, malgré une relative sècheresse des suspensions, nous sommes dans une voiture confortable. La radio propose une prise auxiliaire, le toit ouvrant apporte une belle luminosité dans l’habitacle, les sièges en semi-cuir évitent de glisser quand on augmente la cadence. Comme les magazines l’ont relevé à l’époque, certains plastiques durs jurent un peu dans un intérieur globalement bien fait. Durant ma possession, aucun nouveau bruit ou dysfonctionnement n’est apparu.

Pour le comportement, tout a été plus ou moins dit sur d’autres sites. Non, je n’emploieraiIMG_3782m_Copyright_Jpog pas le terme de « Kart » pour parler du comportement, car je n’ai pas spécialement trouvé l’arrière très mobile, par exemple (plus vrai sur ma nouvelle clio 2 RS 3, mais ce sera l’objet d’un autre article). J’ai toujours subi du sous-virage à l’atteinte des limites. En soit, c’est plutôt rassurant car, de toutes façons, je ne suis pas un pilote et, l’ESP n’étant pas de la partie sur la mienne, il était sans doute préférable que ce soit le nez qui glisse en premier. La direction hyper directe est assez ferme, tout comme la boîte de vitesse, précise. Un bémol aussi sur la suspension qui, conséquence de son confort au quotidien, manque cruellement de tenue sur les bosses. La voiture a tendance à pomper légèrement.

Ce sujet me permet d’aborder le thème des Runflat. La Mini était montée en Dunlop SP Sport rft (à flancs renforcés donc). Sous la pluie, il m’est arrivé plusieurs fois de me faire surprendre, dans un simple rond-point abordé à 35km/h par exemple. Ils avaient au moins le mérite de ne pas s’user, de vrais pneus en bois. Très vite, j’ai fait le choix de la ré-équiper en monte standard (Hankook K110) et j’ai redécouvert la voiture et des limites bien plus simples à appréhender. Finis les décrochements intempestifs lorsque le pneu utilisait ses flancs. Moins de bruit, plus de confort, un meilleur comportement, je n’ai vu que des avantages à ce changement. Malgré les rumeurs qui courent sur Internet, rien n’interdit de monter des non-runflat sur des jantes équipées pour. Une circulaire est trouvable en ligne. La voiture est d’ailleurs passée sans encombre au contrôle technique équipée des hankook.

IMG_5135_Copyright_JpogLe moteur a réellement deux visages, souple et économe pour la conduite de tous les jours, et rageur au-delà de 4000 tr/min. Les reprises entre 3000 et 5000 tr/min sont grisantes, le turbo réellement efficace. Avec le recul, c’est cette plage de régime qu’on utilise le plus lorsqu’on roule un peu sportivement sur route de montagne. On croirait vraiment avoir 200ch dans ces moments.

Pour la conso, roulant surtout sur nationale, j’ai rarement consommé plus de 7,5l/100km, pour un record à 5,6l/100km sur un trajet de 200km au régulateur dans des conditions optimales.

Ensuite, le chapitre échappement mérite un paragraphe à lui seul. A l’époque, aucune de ses concurrentes n’était capable de fournir de tels retours en installation d’origine. J’avais sous-estimé à quel point cela participait au plaisir de conduire. Toit ouvrant entrouvert, entre deux falaises, ces « balles de fusil » sont folles. Un truc à effrayer les mamies en ville ! En installant un échappement JCW 211, c’est décuplé. Malheureusement mes finances de l’époque ne m’ont pas permis d’y goûter.

Nous sommes donc dans une voiture qui tient ses promesses de polyvalence et de sport sans pour autant être exempte de défaut en conduite soutenue (sous-virage). A vous de pondérer tout ça et de voir ce qui vous importe le plus.

3 – L’entretien et la fiabilité

 

Pour l’entretien, j’ai décidé de suivre le carnet BMW et de continuer à les réaliser en concession avec les tarifs qui vont de pair… Comptez 315 euros pour la « petite » révision (en 2013), vidange + filtres, dans ma région. Si j’ai fait ce choix, c’était pour préparer le terrain à un éventuel besoin de prise en charge, si jamais ma distribution en venait à défaillir.

On touche là, le principal problème du moteur THP (N14). Il arrive que le tendeur de distribution ne remplisse plus son rôle (suite à un manque d’huile par exemple) et laisse donc la chaîne prendre du jeu et, par conséquent, se détendre. Une fois la chaîne détendue, il se peut qu’elle décale la distribution et provoque une casse moteur.

Certains symptômes peuvent, néanmoins, prévenir d’un futur problème (forte consommation d’huile ou bruit). Moteur froid, on entend la chaîne vibrer dans son guide (bruit métallique assez reconnaissable et peu agréable). La mienne a fait ce bruit un matin d’hiver alors que le niveau d’huile était au 3/4. Par sécurité (et par paranoïa aussi !), j’ai préféré traiter le problème tout de suite, en faisant remplacer le tendeur seul. Il m’a coûté environ 150 euros, sans aucune prise en charge du réseau malheureusement. Ce problème est apparu vers 70 000 km pour la mienne. Par la suite, j’ai veillé à être toujours au niveau d’huile maximum avec une huile extrêmement fluide (et chère, 15eu/l), en l’occurrence, de la Castrol 0w30. Contrôlant mon niveau tous les 1000 km environ, j’ai constaté que la mienne consommait environ 1l pour 9000 km, ce qui est, dans le monde Mini, un assez bon score. A savoir que BMW considère une consommation d’huile d’1l/1000km comme normale dans le livret d’entretien…

Hormis cela, j’ai eu une seule autre panne, qui était une sonde de température moteur. De gros symptômes (ventilateur en marche forcée, moteur « en sécurité ») pour une petite réparation finalement. J’ai juste fait changer le capteur pour un peu moins de 100 euros et c’était reparti comme avant, mais au prix d’une belle frayeur.

Un autre pépin un peu plus « drôle » concerne le toit ouvrant. Celui-ci refusait de s’ouvrir par forte chaleur (un comble !). Un re-graissage des rails a résolu le souci. Pour l’anecdote, il semblerait que ce problème soit surtout présent sur les Mini à toit noir, qui aurait tendance à emmagasiner la chaleur et à « dilater » les joints entraînant une résistance du mécanisme.

Mis à part le problème de distribution qui est à surveiller, ce moteur est globalement fiable si on le surveille de près (consommation d’huile).

A noter que, depuis 2010, BMW a revu son moteur (passage en référence N18) et notamment la distribution. Et, de ce que j’en lis sur le forum Cooper-s, il semblerait que le problème ait été résolu.

Je ne saurais que vivement vous conseiller de vous inscrire sur le forum Cooper-S.Fr qui est une mine d’or pour ce genre d’expérience.

4- Conclusion

 

IMG_3471_Copyright_Jpog

Pour conclure, parlons de la fin de l’histoire et de la revente. J’ai décidé de me séparer de ma voiture mi-avril 2014, après 3 ans de possession. Ce choix a été motivé par l’envie de changement et de goûter à la concurrence pour m’en faire un avis. Il m’aura fallu environ 1 mois de mise en annonce pour qu’elle parte au prix de 11 750 euros, pour 85 000 km. J’ai donc subi une dépréciation de 3250 euros, ce que je trouve plutôt bien. On peut considérer que les Mini gardent une bonne valeur résiduelle.

Cette voiture me laisse un très bon souvenir. J’ai, parfois, envie de retenter l’aventure avec un Clubman N18 pour laisser de côté la parano sur le N14 (bien qu’au final, je n’aie pas eu de souci). J’ai apprécié la voiture, l’image fun de la marque (côté Guerlain Chicherit, pas côté bourgeoise comme on l’entend souvent), et l’aspect club.

C’est, en effet, en achetant cette Mini que j’ai décidé de m’inscrire sur le forum et de réellement vivre l’expérience, en participant aux sorties. Il est vraiment agréable de profiter d’une balade autour d’une même passion. Je ne sais pas si cela est aussi vrai dans d’autres marques. Le seul hic, c’est qu’à voir les autres Mini, « optimisées », on a pas envie de garder la sienne d’origine, c’est donc dangereux pour le porte-feuille.

C’est une voiture que je conseille si vous en appréciez le look ! Elle est ludique et charismatique.

Be Mini (comme la marque le dit)

Vous retrouverez la plupart des informations écrites ici plus précisément sur le forum Cooper-S, et j’arrête là ma pub, mais il faut rendre à César ce qui est à César.

Bonus :

Un petit thème bonus pour aborder le sujet de la personnalisation. C’est un domaine presque inévitable dans le monde Mini et il existe énormément de possibilités de faire évoluer le look (voire les performances, mais chut c’est illégal). Pour ma part, comme vous pourrez le constater sur les photos, j’ai fait le choix de tout réaliser moi-même, à moindre coût. J’ai jeté mon dévolu sur la solution du covering, en achetant des vinyles 3M, faciles à poser et bon marché. Je dois avouer que le covering des rétros en orange fut assez fastidieux mais a fini par fonctionner. Pour les jantes, j’ai choisi la solution du Plastidip, un élastomère liquide qui s’applique comme une peinture et se retire comme un vinyle. Après 2 ans en place, j’ai juste constaté une dégradation de la teinte vers un gris anthracite, mais aucun problème de tenue à la chaleur ou au lavage (sans gratter bien entendu). Pour les quatre jantes, 4 bombes ont suffi, pour un coût de 60 euros avec possibilités de revenir à l’origine en quelques minutes. Toute la personnalisation m’est donc revenue à moins de 200 euros.

 

Si vous avez des questions supplémentaires, n’hésitez pas à laisser un commentaire ici ou sur Facebook !

 

Autre article Mini : Mini Cooper S JCW GP (2006)

 

Galerie photos de l’article :